NEW YORK, NY - NOVEMBER 09: Republican president-elect Donald Trump delivers his acceptance speech during his election night event at the New York Hilton Midtown in the early morning hours of November 9, 2016 in New York City. Donald Trump defeated Democratic presidential nominee Hillary Clinton to become the 45th president of the United States. Chip Somodevilla/Getty Images/AFP == FOR NEWSPAPERS, INTERNET, TELCOS & TELEVISION USE ONLY ==

Revivez l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche

L’homme d’affaires sera le prochain président des Etats-Unis. Un peu avant 9 heures, heure à Paris, il avait remporté 290 grands électeurs sur les 270 requis.

Les Américains votent, mardi 8 novembre, pour élire leur 45e président. Les premiers bureaux de vote ont fermé à minuit, heure de Paris. Les premières estimations devraient tomber dans la foulée.

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Le Monde le 10 novembre à 01h05
Nous allons fermer ce live. Merci à tous de l'avoir suivi. 
Le Monde le 10 novembre à 00h52
Notre envoyé spécial Pierre Bouvier est à New York dans les rangs de la manifestation du "Jour d'après"...
 
Le Monde le 10 novembre à 00h51
On ne revoit que rarement les perdants des élections présidentielles américaines revenir au premier plan politique. Pourquoi Hillary, qui a tout de même obtenu le vote populaire, devrait-elle quitter la politique ? Est-ce une tradition ou une obligation ?

-QJ
 
Il n'y a aucune obligation. Nixon qui avait perdu contre Kennedy à la présidentielle de 1960, avait finalement été élu en 1968. Pour ce qui s'agit de Mme Clinton, celle-ci "cumule" désormais deux échecs : lors de la primaire démocrate de 2008 face à Barack Obama, puis à cette élection. N'oublions pas non plus qu'elle est âgée de 67 ans.
Le Monde le 10 novembre à 00h48
 
"Donald Trump a entendu la colère d'une classe moyenne en déclin qui en a assez d'une économie, d'une politique et des médias régis par l'establishment. Les gens sont fatigués de travailler plus longtemps pour des salaires plus bas, de voir des emplois décemment rémunérés délocalisés en Chine et d'autres pays à bas salaires, de voir des milliardaires ne pas payer pas d'impôt fédéral sur le revenu et de ne pas être en mesure d'offrir un enseignement universitaire à leurs enfants - pendant que les riches deviennent chaque jour beaucoup plus riches.
 
Dans la mesure où M. Trump tient ses engagements sur la volonté d'adopter des politiques qui améliorent la vie des familles qui travaillent dans ce pays, moi et d'autres progressistes sommes prêts à travailler avec lui. Dans la mesure où il poursuit des politiques racistes, sexistes, xénophobes et anti-environnement, nous nous y opposerons vigoureusement."
Le Monde le 10 novembre à 00h40
Comment F. Hollande va t'il pouvoir travailler avec D. Trump ? Entre ses propos désobligeants dans le livre "Un président ne devrait pas dire ça" et sa déclaration il y a quelques semaines expliquant qu'« Il y a des élections qui vont se produire aux Etats-Unis, une présidente va être élue" ?

-Jean
 
Le président français n'a effectivement pas mâché ses mots sur Donald Trump. Lors d’une allocution solennelle, le chef de l'Etat a affirmé qu'il travaillerait avec le républicain « avec vigilance et franchise ».
 
Mais pour leurs relations ne se présentent effectivement pas sous les meilleures auspices, M. Hollande ayant vertement critiqué M. Trump dans des propos rapportés dans le livre Un président ne devrait pas dire ça. Affaire à suivre...
Le Monde le 10 novembre à 00h36
Comment Donald Trump peut il forcer le Mexique à payer le mur frontalier ?

-thomas
 
Le prochain président américain ne peut pas forcer le Mexique à payer pour le mur. D'ailleurs, lors de sa visite à Mexico lors de la campagne fin août, il n’avait pas évoqué ce point crucial. Le président mexicain avait, après cette rencontre, réaffirmé sur Twitter : « Au début de la conversation avec Donald Trump j’ai clairement indiqué que le Mexique ne paierait pas le mur ».
Le Monde le 10 novembre à 00h32
La Maison Blanche a annoncé dans la soirée de mercredi que le président Barack Obama allait recevoir son successeur Donald Trump dans le bureau ovale jeudi.
Le Monde le 10 novembre à 00h25
Le Monde le 10 novembre à 00h09
Notre envoyé spécial à New York vous fait suivre les rassemblements du "jour d'après"
Le Monde le 10 novembre à 00h08
Conformément à l'usage, le président cubain Raul Castro, dont le pays a rétabli ses relations diplomatiques avec les Etats-Unis en juillet 2015, a "envoyé un message de félicitations à M. Donald J. Trump pour son élection comme président des Etats-Unis", a annoncé mercredi le ministère des affaires étrangères dans un bref communiqué.
 
En guise de première réaction à la victoire du magnat de l'immobilier, La Havane a annoncé mercredi matin dans la presse d'Etat la tenue, la semaine prochaine, d'exercices militaires "stratégiques" à l'échelle nationale visant à faire face à une éventuelle invasion. Ces manœuvres avaient été mises en place pour la première fois au moment de l'élection du républicain Ronald Reagan en 1980. Les derniers exercices de ce type s'étaient tenus en 2013.
 
Donald Trump a laissé entendre qu'il reviendrait sur certaines concession accordées par son prédécesseur au régime communiste dans le cadre du spectaculaire dégel lancé fin 2014. Il a également déclaré qu'il était pour l'instant opposé à la suppression de l'embargo financier et commercial imposé à l'île depuis 1962. Sa levée dépend toutefois du Congrès, qui était et reste sous le contrôle des Républicains.
Le Monde le 09 novembre à 23h55
L'expulsion des sans-papiers prendra du temps, tempère Mexico
 
L'expulsion des Mexicains en situation irrégulière aux Etats-Unis s'accélérera peut-être lorsque Donald Trump prendra ses fonctions, toutefois le processus d'ensemble prendra du temps, a estimé mercredi le vice-ministre mexicain de l'intérieur chargé de l'immigration.
 
La victoire surprise de l'homme d'affaires, qui a notamment promis de rallonger le mur à la frontière, de renvoyer tous les sans-papiers dans leur pays et de dénoncer l'accord de libre échange nord-américain (Alena), suscite une profonde inquiétude chez son voisin du sud.
 
"Il est possible que les expulsions augmentent pour les Mexicains sans papiers, dont le nombre est estimé à six millions, mais nous ne pensons pas que cette mesure sera appliquée bientôt ni rapidement", a déclaré à l'agence Reuters Humberto Roque Villanueva.
 
"Les Mexicains qui sont là-bas sont utiles à l'économie nord-américaine et le président Trump, le président élu, devra réaliser les conséquences économiques d'une telle promesse de campagne."
 
Le gouvernement, a-t-il ajouté, est prêt à faire pression sur le Congrès américain et à recourir à tous les moyens légaux pour empêcher le futur locataire de la Maison Blanche de le contraindre à financer le chantier de son mur frontalier.
Le Monde le 09 novembre à 23h50
Soutien de Trump, Chris Christie prend le contrôle des finances d'Atlantic City
 
L'administration du gouverneur du New Jersey, Chris Christie, l'un des principaux membres de l'équipe de campagne de Donald Trump, a pris officiellement mercredi le contrôle des finances d'Atlantic City, une cité balnéaire de la côte est au bord de la cessation de paiement.
 
Un accord avait été trouvé fin mai à l'assemblée du New Jersey concernant un plan de sauvetage de la ville, lequel prévoyait que l'équipe municipale devait présenter un projet de budget équilibré pour les cinq années à venir. Mais le projet, présenté fin octobre, a été retoqué par le département des collectivités de l'Etat, placé sous le contrôle du gouverneur, Chris Christie.
 
Personnage de premier plan de la campagne Trump, il pourrait mener l'équipe de transition, chargée de préparer la prise du pouvoir en janvier prochain.
Le Monde le 09 novembre à 23h47

Un des tracts distribués à Colombus Circle. #newyork #election2016 #dayafter

Une photo publiée par Pierre Bouvier (irl) (@pibzedog) le 9 Nov. 2016 à 14h45 PST


Le Monde le 09 novembre à 23h39
Le Monde le 09 novembre à 23h36
Le Monde le 09 novembre à 23h36

Au rassemblent de Colombus Circle. #newyork #election2016 #dayafter

Une photo publiée par Pierre Bouvier (irl) (@pibzedog) le 9 Nov. 2016 à 14h31 PST


Le Monde le 09 novembre à 23h27
Notre envoyé spécial à New York, Pierre Bouvier :
 
Le Monde le 09 novembre à 23h06
Un terme est apparu sur les réseaux sociaux américains peu avant l’annonce des résultats définitifs. Il a été retweeté et partagé des dizaines de milliers de fois, majoritairement par ceux qui étaient abasourdis et désespérés par l’accession de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Le mot est « white-lash », mélange de « white » (blanc) et « backlash » (retour de bâton). Comme un cri du cœur autour duquel se sont ralliés, au moins virtuellement, ceux qui y voient une victoire de « l’Amérique raciste ».
 
Le Monde le 09 novembre à 22h44

Notre correspondant à New York, Gilles Paris, résume la situation concernant le vote d'hier :

Donald Trump a récolté moins de voix qu'Hillary Clinton. Mais comme il s'agit d'un suffrage universel indirect, c'est le nombre de grands électeurs qui compte et, là, le candidat républicain devance nettement la démocrate puisqu'il a déjà remporté 290 grands électeurs alors que 270 sont nécessaires pour être élu président. Hillary Clinton, elle a remporté 228 grands électeurs.
Le Monde le 09 novembre à 22h34

Le président mexicain Peña Nieto et Trump vont se rencontrer

Le président mexicain Enrique Peña Nieto et Donald Trump ont convenu de se rencontrer, a annoncé mercredi à Mexico le chef d'Etat mexicain, félicitant le président américain nouvellement élu.
Nous avons convenu avec le président élu de nous réunir de préférence durant la période de transition [avant la prestation de serment en janvier] pour définir avec clarté la direction que prendra la relation entre les deux pays."
M. Peña Nieto a qualifié de "cordiale, amicale et respectueuse" la conversation téléphonique avec celui qui, durant la campagne, avait copieusement insulté les Mexicains. Les relations ne promettaient pourtant pas d'être au beau à la suite de la promesse de campagne de Donald Trump de faire bâtir un mur le long de la frontière mexicaine pour stopper l’immigration illégale. 
 

Lire aussi notre article : Au Mexique, la victoire de Donald Trump reçue comme une douche froide  

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