Ma vie et mes ennuis !

Quand j’étais gosse, ma mère m’appelait « Contrarius ». Je remettais en cause tout ce qu’on tentait de m’imposer. J'ai vieilli, mais ça n’a pas changé, plutôt empiré. Je n’ai pas arrêté de remettre en question toutes les croyances et présupposés qui constituent ce que nous appelons notre « culture ». Au point que ça m’a valu une démolition en règle. Comme les médias me refusent la parole depuis plus de vingt ans, je vous donne ici mon propre son de cloche.

État des lieux

J’ai aujourd’hui 85 ans Je suis sans doute le seul quidam sur cette planète à manger 100 % cru depuis plus d’un demi-siècle. Même plus que cru : sans aucune préparation culinaire, ni assaisonnement, ni mélange, ni produits laitiers, ni céréales. Comme le faisaient dans la nature les primates dont nous avons hérité la génétique. Ma santé est excellente. Ni varice, ni arthrose, ni carence, ni aucun de ces troubles du vieillissement dit normal. Je suis au contraire en pleine activité.

Pourquoi cette alimentation ? Parce que j’ai vu pousser une tumeur maligne dans mon pharynx, à 26 ans, et que je me suis voulu plus malin que le cancer. Déjà 57 ans de survie avec cette alimentation (on me donnait 20% de survie à 5 ans), et chaque année un an de plus... Je voulais d'abord savoir, par curiosité scientifique, si l’Homme est capable de se nourrir sans cuisson ni cuisine ni vaches ni tracteurs à la clé, comme tous les animaux de la création. Donc aussi sans trop d’empreinte écologique.

Avant tout cela, j’étais physicien et mathématicien, et par surcroît violoncelliste : premier prix de virtuosité avec félicitations du jury, lauréat du Concours d’Exécution Musicale de Genève, c'était bien parti. Du côté de mes études également, régulièrement premier de classe, tous les prix de math, de latin et de moyennes générales – ce qui n’a pas servi à grand-chose, sinon à grossir mon ego.

Puisque mes qualifications ont été mises en doute par les médias, vous pouvez vérifier en bas de page que j'ai bien une licence math-physique (équivalent suisse de master) et une licence en psycho.

Toujours est-il qu’avec ce changement d’alimentation, auquel je ne croyais qu’à moitié au début (je craignais de mourir d’inanition dans les trois mois), ma femme et moi avons vu notre santé, celle de nos enfants et de bien des amis qui nous suivirent, s’améliorer de façon spectaculaire. Pour plus de détails, voir mon bouquin "Manger Vrai"' sur: https://www.culture-nature.eu/titres/

Aussi de gros changements dans le fonctionnement du psychisme, notamment du sexe : une étonnante sérénité balayant l’urgence des pulsions masculines et harmonisant les pulsions féminines, pour faire place à une forme d’amour différente, beaucoup plus subtile et satisfaisante. Il fallait en fait distinguer entre deux formes d'Éros : l'une visant à la reproduction, et l'autre au développement métapsychique.

Le mystère Jérôme Bosch

Et voilà qu’un beau jour, alors que je contemplais le Jardin des Délices de Jérôme Bosch, j’ai comme une illumination : ces deux formes d’amour, il nous les envoie au milieu de la figure, au centre exact du panneau central. À partir de là, tout le tableau s’éclaire comme par enchantement. Du coup, je constate que je ne suis pas le seul à aspirer à quelque chose de plus élevé que la sexualité telle qu’on nous la sert, aussi bien dans l’éducation sexuelle à l’école que dans la porno ou dans la morale judéo-chrétienne. Si cela vous intéresse, j'ai écrit un bouquin sur le sujet : "Jardin des Délices, le Secret du Futur ?" que vous trouverez sur Amazon ou sur https://www.culture-nature.eu/titres/.

Surprise aussi lorsque je me hasarde à lire ce qu’en disait Platon (dans le Banquet et le Phèdre) : voilà plus de deux mille ans, il distinguait déjà deux Éros, l’un visant à la reproduction et au plaisir, l’autre au développement des « ailes de l’âme », permettant d’accéder aux Essences. Encore faut-il comprendre ce qu’il appelle les Essences : entités transcendantes de beauté et de vérité, l'équivalent d'Archétypes, substrats de toute spiritualité – rien à voir avec ce que nos philosophes modernes en font lorsqu’ils traduisent Essences par Idées.

Les Essences appartiennent par nature à ce qu’on peut considérer comme une dimension métapsychique. Une sorte d’univers parallèle auquel l’homme peut accéder grâce aux facultés extrasensorielles. Un au-delà de la matière, qui échappe à nos sciences matérialistes, mais qui n’en est pas moins réel. J’ai en effet pu voir de nombreuses personnes acquérir des capacités extrasensorielles en lien direct avec cet Éros mystérieux – et vérifier que les informations captées sont authentiques, même lorsqu'elles sont inaccessibles par les voies normales. Les processus psychiques en jeu sont assez complexes et m’ont amené à élaborer une « théorie de la métasexualité », définissant les rapports entre sexualité et développement des facultés métapsychiques. Vous la trouverez dans mon "Essai sur la Théorie de la Métasexualité" sur https://www.culture-nature.eu/titres/ Voir aussi mon site "Qu'est-ce que la métapsychanalyse ?" : https://sites.google.com/site/metapsychanalyse/.

Mes ennuis

Tout ça, c’est le bon côté de la médaille. Mais des revers, j’en ai aussi eu ma dose. Pas étonnant, me direz-vous, quand on se permet de remettre en cause les deux axes majeurs de la civilisation : la cuisine et la morale. Avec tout ce qui en dérive en matière d’agroalimentaire, de restauration, d’écologie, de santé, de dogmes médicaux, mais aussi de société, de relations, d'habitudes de table, de pratiques sexuelles, de croyances religieuses, de philosophie, et j’en passe. Même d’art pictural… car Bosch n’est pas le seul peintre à confier à son pinceau les mystères de cet Éros.

D’abord les ennuis qu’on m’a fait pour mon régime. Ne parlons pas de la belle-famille et des menaces de mise sous tutelle. Faire manger cru à ses enfants mineurs, c’est une inconscience majeure, même si les résultats sont excellents, et comme nous avons eu six enfants... Ma femme m’a heureusement toujours soutenu. Nous nous sommes finalement installés en France, pays que je croyais plus ouvert à des idées neuves que ma petite Suisse natale.

Tout a bien commencé. Les médias se sont intéressés très positivement à ma forme de crudivorisme (dite « instinctothérapie », parce qu’elle repose sur le choix et le dosage instinctifs des aliments). Un journaliste, Gérard Briche, est tombé sur un livre écrit par un ancien cancéreux, qui avait vu son tératome trophoblastique indifférencié, un cancer des plus foudroyants, développer deux métastases pulmonaires malgré un an de chimiothérapie, métastases qui ont littéralement fondu en neuf mois d'instincto (sans chimiothérapie) pour ne jamais récidiver. Son témoignage parut dans l’Impatient, revue médicale qui se voulait ouverte aux méthodes naturelles.

Une journaliste de VSD, fascinée par un tel résultat, vint alors m’interviewer et fit très honnêtement état de mes déclarations. Les médecines naturelles avaient le vent en poupe. D’où une avalanche médiatique d’abord 100 % positive. Puis arriva le SIDA. Une vingtaine de sidéens vinrent dans le Centre d’accueil que nous avions ouvert entre-temps et constatèrent des améliorations substantielles. De sorte que VSD y consacra un second article.

Mais l’Ordre des médecins veillait au grain. Le SIDA était le nouveau fond de commerce du lobby médico-pharmaceutique. Une certaine Anne-Marie Casteret, passée au journalisme pour avoir raté ses études de médecine, publia cette fois un scoop 100 % négatif : « Le gourou qui prétend guérir le sida en mangeant cru ». Il est vrai que ça paraissait fou. Depuis, même Montagnier, le découvreur du virus, a reconnu que l’épidémie est en rapport avec le stress oxydatif, donc avec l'alimentation ordinaire qui en est la source majeure.

Cascade de mensonges

Il s’ensuivit toute une cascade de rumeurs mensongères, avec ses dommages collatéraux : surenchères jusqu’à parler de morts dans les placards de notre Centre d'accueil, perquisition fiscale, enquête judiciaire longue de sept ans. Chefs d’accusation : exercice illégal de la médecine, publicité mensongère, et escroquerie. Un premier juge m’innocenta au bout de deux ans et me serra la main très convivialement. Le Procureur, irrité, fit appel, il ne fallait pas laisser courir un dangereux gourou.

Une nouvelle juge plus zélée enquêta encore cinq ans pour trouver des témoins à charge, mais n’en trouva pas un seul. Un premier tribunal me reprocha d’avoir écrit que l’instinctothérapie peut améliorer même les maladies graves et me condamna à trois ans d’interdiction de "toute activité concernant directement ou indirectement l’instinctothérapie". Ce qui prouvait qu’il n’y avait pas eu de morts dans mes placards (j'aurais été accusé d'homicide par imprudence), ni de mensonge dans mes bouquin (pas de publicité mensongère), ni d’enrichissement illicite (pas d'escroquerie). Ni, malgré les appels à témoins, aucun plaignant. Excellent certificat !

Mais le Procureur refit appel et réussit cette fois à me faire condamner à 50000FF d’amende et trois mois de prison avec sursis pour exercice illégal de la médecine - mais sans aucune interdiction d’exercer ! Le bruit court encore que j’aurais été condamné pour publicité mensongère et escroquerie, jusque dans d’anciens rapports parlementaires : c’est faux ! Ce qu’on me reprochait, c’est d’avoir écrit dans mes livres qu’un régime pouvait avoir des effets bénéfiques même sur les maladies graves. Et pourtant c’est vrai !

Parallèlement, la MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) ne manqua pas de qualifier l'instinctothérapie de démarche sectaire, sans autre référence que les médias ! Alors même que la notion de secte n'a pas pu être définie juridiquement. Il ne fallait évidemment pas manquer l'occasion de démolir un mouvement novateur gênant pour la médecine, l'industrie pharmaceutique, la restauration, la psychiatrie et autres rouages du pseudo-équilibre socioéconomique en place. Sans oublier trois attaques en force du fisc, consistant à rejeter la comptabilité sous des prétextes dignes des meilleurs films comiques, pour la remplacer par de faux chiffres conduisant à des impositions mortifères - dont deux se sont soldées par un dégrèvement total (mais après quelles batailles...) et la troisième par un abandon de poursuites. À l'époque, l'État avait recommandé au fisc et autres leviers de l'Administration de tout mettre en branle pour radier les sectes du territoire national. Pourtant, rien n'a permis, malgré tant d'efforts convergents, de pénaliser ni de faire fermer mon Centre d'Accueil (sauf trois mois pour une mise à jour des installations de sécurité incendie).

L'arme fatale

Mon Centre continuait donc d'accueillir du monde et d'améliorer des santés, au grand dam de tous les opposants. La même Anne-Marie Casteret, condamnée entre-temps pour avoir divulgué l’identité de deux petits sidéens étonnamment remis en forme, et courroucée comme il se doit de cet aboutissement, sortit cette fois ses armes de destruction massive. Elle avait entendu parler de ma théorie de la métasexualité, et en avait retiré que j’étais forcément pervers. Dans un article-choc de juin 97, elle me présentait comme le dangereux gourou pédophile à la tête d’une secte maléfique. Elle alla trouver quelque 70 familles ayant séjourné au Centre, tentant de récolter quelques témoignages contre moi. Une seule jeune fille, anciennement éprise de mon fils cadet qui l’avait envoyée sur les roses, et tombée entre-temps dans les paradis artificiels, se laissa finalement convaincre d’éliminer le dangereux gourou. Non sans hésitations, mais Anne-Marie Casteret lui parla de grosses indemnités, et elle finit par céder. La journaliste donna son adresse aux gendarmes, qui récoltèrent ses dires ou plutôt : lui mirent ceux de la dénonciatrice dans la bouche.

Je fus aussitôt arrêté (plus de 50 véhicules de gendarmerie mobilisés pour maîtriser la secte qui n'existait pas !) et mis en préventive. Je me sentais parfaitement serein, vu que je n’avais rien sur la conscience qui puisse m’être reproché. Quelle ne fut pas ma surprise de déchiffrer les chefs d’accusation : viols sur mineures de quinze ans, corruption de mineures, violences. Je crus rêver, jusqu’au jour de la confrontation : le juge demanda à la « victime » ce qu’elle me reprochait. Il s'y reprit à plusieurs fois, n'obtenant chaque fois qu'un lourd silence. Il lui lut alors les déclarations qu’avaient consignées les enquêteurs, lui demandant de les confirmer. Mais toujours le même silence.

Derrière son dos, l’avocat d’office multipliait les exhortations : « C’est maintenant qu'il faut y aller ! ». Finalement, la malheureuse laissa sortir quelques "ouis" aigus et effilés. Le juge dicta aussitôt à la greffière des déclarations péremptoires, qui n'étaient que la remise à la première personne de ses propres questions, comme s’il s’agissait de déclarations spontanées et bien appuyées. De sorte qu’on put lire, immortalisées dans le procès verbal d’audition : « il m’a mis le doigt dans l’oreille » (ça compte pour un viol), « il m’a mis la langue dans le vagin », « il m'a mis le doigt dans le vagin » alors que je n'ai jamais fait le moindre geste ni du doigt ni de la langue ni d'autre chose envers la pseudo-victime.

Et on remet ça

Une seconde présumée victime, convoquée par les gendarmes sur indication de Mme Casteret, nia d’abord toute forme de viol. Mais après avoir vu dans les journaux sa photographie agrémentée de la légende « Sarah, le jouet sexuel de toute la secte », demanda à être entendue pour se plaindre d’une telle diffamation. Et là, on put apprécier le professionnalisme des enquêteurs. Après bien deux heures de conversation non consignée, ils faisaient signer à Sarah la phrase suivante : « Suite à ce que vous m’avez expliqué, j’admets que l’on pourrait considérer que j’aurais été victime d’un viol ». Elle le nia lors de la confrontation, allant jusqu’à crier qu’elle avait été victime de la pression des gendarmes, mais rien n’y fit. Pour la Justice, je l’avais violée. Elle est venue me retrouver après le procès, pour s'excuser de s'être laissée manipuler par les gendarmes.

Voilà comment fonctionnent ces enquêtes. Autre exemple : un enfant du village voisin, venu parfois se baigner dans la piscine du Centre, déclarait avoir vu deux personnes nues dans la piscine, puis après un second interrogatoire par un inspecteur plus qualifié, affirma qu’il en aurait vu près de cent ! La réalité : un couple d’Allemands fraîchement arrivés s’était une fois baigné nu, au mépris de l'interdiction affichée au secrétariat. J’avais aussitôt demandé aux naturistes de se rhabiller.

On me reprochait aussi de n’avoir pas fermé les portes de mon aula à clé pendant mes cours de métapsychanalyse : un mineur aurait pu y pénétrer (ce qui ne s’est jamais produit !). Cela suffit pour m’accuser de corruption de mineurs. Alors que si un mineur était entré, j'aurais immédiatement arrêté mon cours ou évité de dire quoi que ce soit qui puisse le choquer (il n'y avait aucun dessin ou projection indécente pendant ces séminaires).

Quant aux experts psychiatres… Un certain docteur Abgrall, chargé d'écouter les cassettes de mes cours, me qualifiait tout simplement de « pervers constitutionnel ». Ça se comprend : la psychiatrie considère comme perversion toute transgression de la norme, posant que norme = nature, Alors que la norme est bien souvent contraire à la nature ; la simple recherche des lois naturelles est donc foncièrement perverse !

Un procès digne d'Outreau

Après quatre années de préventive, ponctuées de toutes sortes d’enquêtes parallèles et d’une kyrielle d’articles à scandale, vint enfin le procès. J’avais préparé soigneusement ma défense, comptabilisant 41 contradictions qui prouvaient que ma première « victime » mentait et que la seconde s’était sincèrement rétractée.

Mon accusatrice fut cette fois plus loquace. Elle avait reçu entre-temps une indemnité prévisionnelle de la CIVI (Commission d’Indemnisation des Victimes d’Infractions) de 150'000FF. Six mois avant le procès !

J’avais été bien naïf de penser qu’elle pourrait rétablir la vérité. Elle avait aussi bénéficié de toute une formation par son avocat, la préparant à affronter un jury de Cours d’Assises. Mes propres avocats étaient eux-mêmes gênés par la pression médiatique. Ils m'avouèrent après l’une des nombreuses audiences : « Si on plaide votre innocence, on se fait traiter de pédophiles » (dixit Me Thierry Lévy). Ils décidèrent malgré moi de me défendre en faisant simplement appel à la clémence des jurés. Résultat : 15 ans de réclusion criminelle et supplément d’indemnité à la « victime » pour ses fausses accusations. Aucune indemnité pour la pseudo victime qui s'était rétractée, mais supplément de condamnation quand même pour moi.

Une thèse politiquement incorrecte

Il n’y pas de fumée sans feu. J’avais eu le grand tort de clamer sur les toits, dans mes cours et auprès de certains journalistes, que la découverte de la fonction essentielle qu’est la métasexualité, à savoir qu’une partie des pulsions amoureuses a pour but le développement des facultés extrasensorielles, amenait à revoir complètement la morale. Les pulsions dites adultères pouvaient s'expliquer par la recherche d’une telle énergie auprès d’un partenaire extérieur au couple, cela pour le bien du couple. Les pulsions homosexuelles pouvaient aussi s’expliquer par une quête d’énergie, différente de celle que l’on trouve dans une relation hétérosexuelle, ce qui expliquait la « bisexualité fondamentale » décrite par Freud. Voilà qui dérangeait bien du monde.

Pire encore : la sexualité dite polymorphe (tout l'érotisme possible hors coït), maladroitement baptisée par Freud « sexualité infantile » parce qu'elle est présente tout au long de la vie et déjà avant la maturité, pouvait avoir pour fonction non celle de présumés plaisirs préliminaires, mais un apport d’énergie métapsychique permettant le développement des facultés extrasensorielles. Le refoulement de l’œdipe, c'est-à-dire le rejet des pulsions infantiles, pouvait donc priver l’enfant de facultés importantes pour sa future vie spirituelle. À l’échelle des grands nombres, les carences individuelles se traduisent par toutes sortes de vicissitudes sociales : le désenchantement, le sentiment de perte du sens de l’existence, le surinvestissement des biens matériels et autres caractéristiques de la névrose endémique.

Le raisonnement me paraît aujourd’hui encore sans faille, comme l'ont attesté les psychiatres qui ont suivi mes cours – si ce n’est qu’il est inapplicable dans le contexte moral actuel, et qu’il pourrait effectivement servir à camoufler des pulsions perverses. J’ai donc renoncé à développer cet aspect de mes découvertes. Mais cela n'est que marginal, Le fond du problème est l'existence d'un érotisme immanent alimentrant la dimension métapsychique de l'être, tel que Jérôme Bosch le dépeint avec moults détails dans la fresque gigantesque que constituent ses trois principaux triptyques (Le Jardin des Délices, Le Char de Foin et Les tentations de Saint Antoine), À noter qu'il ne s’est pas préoccupé de limites d’âge. À son époque, elles n’étaient simplement pas prises en compte pour tout ce qui concernait la vie amoureuse hors procréation.

Ce n’est que depuis la Révolution que les choses ont changé : Marie-Antoinette fut elle-même accusée de pratiques incestueuses sur le jeune Louis XVII à la Bastille. Je peux me réjouir d’avoir encore la tête sur les épaules…

Contact :

Pour toute question ou objection, vous pouvez me joindre sur ma page facebook.

Pour plus de détails sur l'histoire de ma découverte des liens entre pulsions amoureuses et facultés extrasensorielles : voir la seconde partie de mon livre « Jardin des Délices de Jérôme Bosch : le Secret du Futur ? », sur Amazon.fr ou sur www.culture-nature.eu/livres

Si vous vous intéressez au célèbre triptyque de Jérôme Bosch, vous trouverez en première partie du même ouvrage une interprétation complète et cohérente dans ce même ouvrage (celui-ci vous sera remboursé si vous trouvez un seul motif qui ne s'explique pas de manière cohérente avec les clés d’interprétation proposées !)

Pour tout commentaire sur on interprétation, vous pouvez vous exprimer librement sur la page de groupe facebook « Le mystère Jérôme Bosch résolu ? ».

Concernant mes démêlés avec la Justice suisse (1977) : voir mon livre « Les Enfants du Crime, ou la Fonction Délinquance » disponible également sur Amazon.fr ou sur www.culture-nature.eu/livres

Pour la théorie complète de l’alimentation instinctive : « Manger vrai », également disponible sur Amazon.fr ou www.culture-nature.eu/livres

Vu qu'aucun éditeur en place n'a le courage de publier mes ouvrages, sachez qu'ils sont diffusés par IMP DIFFUSION PARTICIPATIVE : ils sont remboursés intégralement à tout acheteur qui trouve trois autres acheteurs, détails sur www.culture-nature

Vous pouvez aussi tout simplement m'écrire à mon adresse mail : guyclaude.burger@gmail.com

Pour ceux qui ne veulent pas croire que les médias fonctionnent comme des machines de démolition, voici un extrait des déclaration de François de Rugy, ancien ministre de l'écologie, après avoir dû démissionner puis avoir été blanchi :

"Je crois aux vertus du journalisme d'investigation pour la démocratie (...). Et puis il y a un journalisme de démolition et c'est ce que pratique Mediapart», a-t-il déclaré. «On ne s'empare pas d'un sujet mais on s'empare d'une cible et la cible on la crible de flèches. Et on essaye qu'un jour la flèche passe par la meurtière et atteigne la cible». «La République de la diffamation ce n'est pas la République»"

C'est pourquoi j'ai quitté la République Française.

Vous pouvez trouver en pièce jointe, un texte dont je suis assez fier, qui met les points sur le i, quant à l'institution judiciaire et son injustice constitutionnelle, depuis ses plus anciens prédécesseurs historiques.

https://drive.google.com/file/d/1w_0OAefpZwVmgLUUsBOo7V6s6wM68dfa/view?usp=sharing