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Le fan d’une équipe de soccer porterait-il secours au fan de l’équipe «ennemie»? L’analyse de son cerveau révèle que... non.

Du moins, pas toujours.

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Grit Hein, de l’Université de Zurich, en Suisse, et ses collègues, ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique pour observer les réactions de ces gens (chacun étant identifié par un bracelet de couleur correspondant à son équipe) lorsque, tantôt un «adversaire», tantôt un amateur de la même équipe, reçoit une décharge électrique.

Les «cobayes» avaient le choix d’aider la personne, de la regarder... ou de regarder un match.

L’activité dans le cerveau permettait de prédire une fraction de seconde à l’avance ce que la personne allait choisir.

Plus la zone associée à l’empathie était active, et plus le désir d’aider était fort —et l’empathie, on l’aura compris— était plus forte quand il s’agissait d’amateurs de la même équipe. (Source: Université de Zurich)

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