Une taxe de 10% sur les collations peu équilibrées, les bonbons et les boissons sucrées permettrait non seulement d'alimenter les caisses de l'Etat, mais elle provoquerait, à terme, un allégement des caisses de la Sécu en diminuant le poids des maladies cardiaques et du diabète, dont le lien avec l'obésité est établi. Sur 20 ans, on économiserait environ 184 000 années de "vie en bonne santé", affirment l'économiste Lieven Annemans et l'éthicien Ignaas Devic, selon qui les hommes politiques devraient songer à instaurer une telle taxe.
Belga