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Comment Genève veut profiter de la libra

L’association lancée par Facebook a annoncé jeudi à Genève des partenariats avec Wecan Group et l’école CREA. L’objectif: créer un écosystème autour de cette monnaie virtuelle, améliorer la formation en cryptomonnaies et en blockchain et aider à la création de nouveaux services

Bertrand Perez, directeur opérationnel de l’association Libra: «Genève s’est imposé, car notre objectif est de collaborer au maximum avec des organisations internationales, les Nations unies, des institutions financières… la liste est longue.» — © David Wagnières pour Le Temps
Bertrand Perez, directeur opérationnel de l’association Libra: «Genève s’est imposé, car notre objectif est de collaborer au maximum avec des organisations internationales, les Nations unies, des institutions financières… la liste est longue.» — © David Wagnières pour Le Temps

La libra n’est pour l’heure qu’un projet théorique élaboré principalement par des ingénieurs de Facebook basés dans la Silicon Valley. Mais Genève entend bien, avec opportunisme, profiter de la création de cette monnaie virtuelle pour développer un écosystème autour des cryptomonnaies et de la blockchain. Pour sa première apparition publique en Suisse, Bertrand Perez, directeur opérationnel de l’association Libra, a annoncé jeudi deux partenariats avec des organismes genevois.

Lire aussi:  Libra entrouvre la porte au préposé fédéral

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